LIBRE COURS À L'IMAGINATION
L'Atelier Néerlandais, 121 rue de Lille, Paris 7°
L’ambassade des Pays-Bas en France, en collaboration avec le festival International de bande dessinée Formula Bula et le Fonds littéraire des Pays-Bas, organise un cycle de sept dialogues entre des dessinateurs de bande dessinée néerlandais et français à l’Atelier Néerlandais à Paris. Le programme de rencontres Libre cours à l’imagination se déroulera en amont, pendant et après Formula Bula. Pour chacune des rencontres les Néerlandais ont fait part de leur souhait d’inviter un auteur.trice français.e, avec lequel ils partagent des affinités artistiques et/ou narratives. Le magazine Aline vient à Paris, et créera un numéro spécial sur place pendant la rencontre.
Pour plus d’informations, consultez le site www.atelierneerlandais.com
Prochaine rencontre
Jeudi 25 novembre 2021 à 19h00
L'Atelier Néerlandais, 121 rue de Lille, Paris 7°
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Christophe Blain et Typex
- Biographie de Christophe Blain
- Biographie de Typex
La participation est gratuite, mais il faut s’inscrire via info@atelierneerlandais.com
Faites vite, car le nombre de places est limité.
Ne manquez pas nos prochaines rencontres à l’Atelier Néerlandais:
Jeudi 02 décembre 2021 à 19h00
L’Atelier Néerlandais, 121 rue de Lille, Paris 7°
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Aimée de Jongh (NL) et Alex W.Inker (Fr)
Jeudi 16 décembre 2021 à 19h00
L’Atelier Néerlandais, 121 rue de Lille, Paris 7°
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Erik de Graaf(NL) et Carole Maurel (Fr)
Promenade en forêt primaire
Lundi 18 Octobre 2021 à 19h00
Goethe-Institut Paris 16ème
17 avenue d’Iéna
75116 Paris
Entrée libre, réservation conseillée
+ 33 1 44439230
Info-paris@goethe.de
Avec Ulli Lust et Kai Pfeiffer
Visionnage du film Urwald/Forêt primaire (Square Artiste – Carte blanche, Arte, 2019), suivi d‘un débat avec les deux artistes
Le film Urwald tourné par les deux artistes en 2019 s’inscrit dans leurs projets de BD documentaire. Pour Ulli Lust, il prolonge ses recherches sur les formes de vie dans la protohistoire, qui feront l’objet d’un essai en bande dessinée. Kai Pfeiffer y explore la représentation cinématographique des multiples textures de la forêt, leur analogie avec ses « dessins moléculaires », les états de la matière comme élément dramatique en bande dessinée, qui trouvent leur pendant dans les textures acoustiques de la musique du film.